Carlos Alcaraz orchestrated a herculean comeback, etching his name further into tennis lore by snatching victory from the jaws of defeat in the Roland-Garros final, surmounting a two-set deficit and negating three match points to vanquish world number one Jannik Sinner; this hard-fought conquest not only marks Alcaraz's fifth Grand Slam title in as many finals but also consecrates his second successive Parisian triumph, thus inducting him into the rarefied pantheon of only nine players in the Open Era to have surmounted a two-set deficit in a Grand Slam final.

Carlos Alcaraz, à l'orée de sa vingt-troisième année, a parachevé son vingtième sacre professionnel, épilogue d'une joute titanesque de cinq heures et vingt-neuf minutes, la plus dilatoire de l'ère Open sur la terre battue parisienne ; Jannik Sinner, magnanime dans la défaite, a illustré un fair-play irréprochable en cédant, de surcroît, un point litigieux à son rival lors du onzième jeu, sous le regard d'un parterre de célébrités hétéroclites, parmi lesquelles Dustin Hoffman et Natalie Portman, figures tutélaires du cinéma, Spike Lee, héraut du septième art engagé, Pharrell Williams, chantre éclectique de la musique contemporaine, George Russell, prodige de la Formule 1, et Antoine Dupont, sommité du rugby hexagonal.